Fundamentos de la biología anteriores al siglo XIX: Más referencias notables y una reflexión

En la entrada titulada “chaîne des êtres” de su Diccionario filosófico, Voltaire (1694-1778), escribe:

L’ ímagination se complait d’abord à voir le passage imperceptible de la matière brute á la matière organisée, des plantes aux zoophytes, de ces zoophytes aux animaux, de ceux-ci a l’homme, de l’homme aux génies, de ces génies, revêtus d’un petit corps aérien, à des substances inmatérielles et enfin mille ordres différents de ces substances qui, de beautés en perfections, s’élèvent jusqu’au Dieu même.

Contemporáneo de Voltaire es Buffon (1707-1778) quien en su Histoire Naturelle escribe:

1) El gran obrero de la naturaleza es el tiempo.

2) L’histoire générale de la terre doit précéder l’histoire particulière de ses productions, & les détails des faits singuliers de la vie & des mœurs des animaux ou de la culture & de la végétation des plantes, appartiennent peut-être moins à l’Histoire Naturelle que les résultats généraux des observations qu’on a faites sur les différentes matières qui composent le globe terrestre, sur les éminences, les profondeurs & les inégalités de sa forme, sur le mouvement des mers, sur la direction des montagnes, sur la position des carrières, sur la rapidité & les effets des courants de la mer, &c. Ceci est la Nature en grand, & ce sont-là ses principales opérations, elles influent sur toutes les autres, & la théorie de ces effets est une première science de laquelle dépend l’intelligence des phénomènes particuliers, aussi bien que la connaissance exacte des substances terrestres & quand même on voudrait donner à cette partie des sciences naturelles le nom de Physique, toute Physique où l’on n’admet point de systèmes n’est-elle pas l’Histoire de la Nature?.

Diderot, en su obra Le rêve de D’Allembert (1769) escribe : Qui sait les races d’animaux qui nous ont précédés ? qui sait les races d’animaux qui succéderont aux nôtres ? tout change, tout passe, il n’y a que le tout qui reste. Le monde commence et finit sans cesse ; il est à chaque instant à son commencement et à sa fin ; il n’en a jamais eu d’autre, et n’aura jamais d’autre.

Al reflexionar acerca del pasado, en vez de mantener tercamente la idea de que quienes nos precedieron todavía no habían llegado a pensar tan bien como nosotros lo hacemos, cabe, asimismo, la posibilidad de pensar que nosotros no hemos llegado a comprender cómo ellos pensaban. Puede ser más acertado.

A continuación, surge la duda acerca de si nosotros realmente sabemos cómo pensamos. Si, por ejemplo sabemos lo que hoy significa evolución y si no hay posibilidad de error en este concepto. Por ejemplo: ¿Significa evolución que el material hereditario de cada organismo es recibido siempre de sus dos parentales a través de la fecundación por generaciones ilimitadas?. ¿Cuántas generaciones existen sin que pueda haber otro método de incorporar material genético? ¿Treinta?, ¿Trescientas? ¿Tres mil?. ¿Alguien hizo algún experimento al respecto?. ¿Interviene la fe en el creer o no creer que el material hereditario se transmite sólo a traves de cruzamientos entre dos parentales durante un número indeterminado de generaciones?. O,…¿acaso sabemos las respuestas a estas preguntas por haberlas comprobado científicamente? .

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